Accueil

Agora Lectures
"Moby Dick" préfigure un nouveau rapport de l’homme à la baleine, une réduction drastique de la chasse, l’abandon progressif des pratiques prédatrices au profit d’un tourisme voyeur et polluant.
"Moby Dick" préfigure un nouveau rapport de l’homme à la baleine, une réduction drastique de la chasse, l’abandon progressif des pratiques prédatrices au profit d’un tourisme voyeur et polluant.
Buddhilini de Soyza/Cover Images/SIPA

Article abonné

Une histoire de la baleine, devenue malgré elle "symbole de la survie du monde animal", par Michel Pastoureau

On a lu

Par

Publié le

Je m'abonne pour 1€

Longtemps considérée comme une créature du Diable, la baleine est aujourd’hui un animal protégé. Michel Pastoureau nous raconte son histoire dans son dernier livre paru aux éditions du Seuil, « La baleine. Une histoire culturelle ». Renversant.

Né en 1947 à Paris d’un père poète, ami des surréalistes, et d’une mère pharmacienne, Michel Pastoureau est sans aucun doute notre plus grand historien des couleurs et des animaux. Est-ce parce qu’il lit du latin tous les jours depuis l’âge de dix ans, que sa langue est si claire, et que ses livres si agréables à lire ? Peut-être. Une chose est sûre, son histoire culturelle de la baleine de la préhistoire à nos jours est un petit joyau.

Votre abonnement nous engage

En vous abonnant, vous soutenez le projet de la rédaction de Marianne : un journalisme libre, ni partisan, ni pactisant, toujours engagé ; un journalisme à la fois critique et force de proposition.

Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne