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Grand soir des retraites et Boris Johnson qui paye une amende : le bêtisier de la semaine
À la suite du scandale des fêtes privées par temps de confinement, le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a écopé d’une amende, tout comme les autres participants, dont sa femme. Pour s’en tirer, il a expliqué qu’il n’avait participé à la fiesta que pendant dix petites minutes.
AFP

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L’autre Grand Soir

En une du Figaro un éditorial sur la réforme des retraites intitulé « Rétropédalage » déplore : « Le Macron de l’entre-deux-tours vire à gauche, on le pressentait. Mais de là à sabrer son chantier économique le plus emblématique, c’est osé ! » Puis d’ajouter : « Il prend le risque de fâcher ses électeurs de dimanche dernier sans certitude de contenter ceux de La France insoumise. Surtout, il hypothèque sérieusement sa capacité réformatrice déjà entamée après l’échec de sa première tentative de grand soir des retraites il y a deux ans. » Jusqu’à quand nous languirons-nous de ce « grand soir des retraites » ?

Adhésion cachée

Interrogé par le Parisien, Robin Reda, député de l’Essonne et proche de la candidate LR à la présidentielle, a déclaré : « La défaite de Pécresse n’est pas un rejet de sa politique. » On sent déjà que l’autocritique va être sans concession.

Présumée coupable

L’État du Texas a fixé au 27 avril l’exécution de Melissa Lucio, condamnée à mort en 2008, sans l’ombre d’une preuve, pour le meurtre de sa fille. Melissa Lucio ne cesse de clamer son innocence, mais, à la veille des élections de mi-mandat, la droite texane, proche de Donald Trump, entend prouver l’efficacité sécuritaire de la peine de mort.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne