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SNCF, Poste, hôpital… Comment on a lentement laissé mourir nos services publics
À la SNCF, on assume la dernière phase de saccage du service public en segmentant l’offre des billets. Les Français n’ont plus que leurs yeux pour pleurer lorsqu’ils découvrent les prix et sont contraints de s’orienter vers des combines, à la dernière minute.
ROMAIN BEAUMONT/SIPA

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Durant leurs vacances, les Français doivent payer la lourde note de services publics en lambeaux, rongés jusqu’à la moelle. Désormais, la course au système D s’impose partout.

Cet été, les forêts ravagées par les flammes ne seront pas les seuls lieux où l’on pourra observer un paysage de désolation. Souvent pénible, parfois brutale, la réalité est là. Partout, les Français constatent la lente agonie de leurs services publics, et, chaque jour, ils en prennent un peu plus la mesure. Dans les petites choses du quotidien comme dans les événements impromptus. Depuis des années, Marianne met en garde contre le travail de sape engagé par les politiques publiques successives, et au terme duquel l’intérêt général trinque toujours.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne