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Art de vivre Le goût de la France
L'esprit de la vigne : Philippe Courrian ou le Cathare de Cascadais
Arrivé du Médoc en 1992, où il avait donné la première moitié de sa vie aux vignes de Tour Haut-Caussan, le château dont l’étiquette arbore un emblématique moulin à vent, cela fait tout juste trente ans que Philippe Courrian s’est réfugié ici.
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L'esprit de la vigne : Philippe Courrian ou le Cathare de Cascadais

La France de Périco

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Perdus au cœur des Corbières, les coteaux de la Cabrerisse forment un univers préservé où un homme fait en sorte que le jus de la vigne ait encore la gueule de l’endroit et le goût de la civilisation méditerranéenne.

Nous aurions pu titrer aussi le rebelle ou l’ermite, mais l’interprétation que l’on peut se faire du catharisme viticole, en ces temps troubles comme les piquettes à la mode, est conforme à l’idée du paysan vigneron. Arrivé du Médoc en 1992, où il avait donné la première moitié de sa vie aux vignes de Tour Haut-Caussan, le château dont l’étiquette arbore un emblématique moulin à vent, cela fait tout juste trente ans que Philippe Courrian s’est réfugié ici. Le terme « réfugié » est relatif car l’homme ne fuyait rien.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne