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Dune 2 semble moins préoccupé par son récit que par les surenchères visuelles qui entendent témoigner de la virtuosité du cinéaste Denis Villeneuve.
Dune 2 semble moins préoccupé par son récit que par les surenchères visuelles qui entendent témoigner de la virtuosité du cinéaste Denis Villeneuve.
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"Dune, deuxième partie", de Denis Villeneuve : entre surenchère et complexité, un blockbuster interminable

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Trois ans après avoir triomphé avec le premier volet de son adaptation du classique de Frank Herbert (3,1 millions de spectateurs en France), le Canadien Denis Villeneuve remet le couvert. Au menu du second épisode de « Dune » : de l’action à foison (évidemment), une intrigue emberlificotée (évidemment itou) et un peu d’amour. De quoi justifier une durée de 2 h 46 ? Euh…

Ne vous inquiétez pas si vous n’y comprenez rien, c’est fait exprès. De la même manière que son confrère Christopher Nolan (Inception, Oppenheimer ), Denis Villeneuve, autre super auteur œuvrant au cœur du réacteur hollywoodien, ne cherche jamais à prendre le spectateur par la main. Il s’en donne à cœur joie dans le registre de l’ésotérisme avec son adaptation de Dune , le classique de la littérature de science-fiction de Frank Herbert réputé pour sa complexité et considéré comme « culte » grâce à son art très sûr de l’embrouille narrative.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne