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Dans son premier film, Firas Khoury, comme l’écrasante majorité de ses compatriotes cinéastes, met en scène les maux dont souffrent les Palestiniens, mais, bonne nouvelle, il se distingue grâce à son humour ravageur et à son refus du manichéisme.
Dans son premier film, Firas Khoury, comme l’écrasante majorité de ses compatriotes cinéastes, met en scène les maux dont souffrent les Palestiniens, mais, bonne nouvelle, il se distingue grâce à son humour ravageur et à son refus du manichéisme.
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"Sages-femmes", "Ama Gloria" et "Alam" : trois pépites à découvrir au ciné avant la rentrée

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En attendant les mastodontes de septembre et octobre signés Michel Gondry, Martin Scorsese ou Albert Dupontel (entre autres), trois « petits » films originaux essaient de profiter de la fin du mois d’août pour séduire les spectateurs curieux. Zoom sur ce trio emballant.

Ce n’est pas l’embouteillage de la rentrée littéraire, mais cela y ressemble. Comme chaque année en cette période, les distributeurs, après la relative pause estivale, bandent leurs muscles, jouent des coudes et s’apprêtent à sortir « leurs » films dans une « logique » concurrentielle féroce.

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En septembre et octobre, Thomas Lilti (Un métier sérieux), Michel Gondry (Le livre des solutions), Cédric Kahn (Le procès Goldman), Martin Scorsese (Killers of the Flower Moon), Albert Dupontel (Second tour), Éric Toledano et Olivier Nakache (Une année difficile), liste vraiment non exhaustive, vont ainsi envahir successivement les écrans dans l’espoir de rafler la mise au box-office. Avant cette déferlante, trois films outsiders profitent de la fin d’été pour tenter de faire parler d’eux. Ils méritent de ne pas passer inaperçus.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne