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La principale fonction du 9 juin sera donc d’offrir aux gagnants un tremplin et aux perdants un toboggan pour envisager la suite.
La principale fonction du 9 juin sera donc d’offrir aux gagnants un tremplin et aux perdants un toboggan pour envisager la suite.
Alexis Sciard / IP3 / Maxppp / Alain Robert / Sipa

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En marche, LFI, RN… Comment ils vont s'entre-tuer après les européennes

Règlement de comptes en suspens

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Le scrutin européen du 9 juin aura avant tout des répercussions nationales : chaque force politique les envisage comme une épreuve de vérité permettant de préparer la prochaine présidentielle. Depuis La France insoumise jusqu’au Rassemblement national, en passant par le pouvoir macroniste, les grandes manœuvres ont commencé et les couteaux s’aiguisent.

Des élections européennes ? Quelles élections européennes ? On peut le déplorer, mais la réalité est là : il suffira d’attendre quelques jours après le dimanche 9 juin, jour de scrutin continental, pour que l’on n’entende soudainement plus parler de Parlement bruxello-strasbourgeois, de coalitions complexes ou de débats tous plus arides les uns que les autres.

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Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne