Motivations cachées

Abu Sitta, Varoufakis : pourquoi la critique de la politique israélienne est persona non grata en Allemagne

Ce 4 mai, le chirurgien plastique britannico-palestinien Ghassan Abu Sitta, a été refoulé à l'aéroport Charles-de-Gaulle alors qu'il était invité au Sénat à faire part de ses expériences traumatisantes dans la bande de Gaza. Motif ? Berlin refuse son entrée dans l’espace Schengen. En Allemagne, la critique de la politique israélienne est bien difficile. En raison de la culpabilité historique bien sûr mais aussi des considérations de realpolitik.

  • Barre de rire

    "Là, j'essaie d'être charmant" : en visio avec Andrew Sean Greer, l'auteur du livre le plus drôle de l'année

    Il a accepté l’entretien à distance, au risque de bugs et d’autres joyeusetés numériques familières à son héros. Andrew Sean Greer, prix Pulitzer en 2018 pour « Les Tribulations d’Arthur Mineur », donne une seconde chance à ce loser sémillant, écrivain semi-notoire, dans « Arthur Mineur court à sa perte ». Et ce deuxième volet qui n’est pas une suite pourrait bien être le livre le plus drôle de 2024.

  • Sélection

    Cannes 2024 : le grand retour de Coppola, Carrère adapté… les films qu'on attend le plus

    Les organisateurs du plus prestigieux festival de cinéma au monde, formidable accélérateur de carrière pour nombre de grands réalisateurs et réalisatrices depuis 1939, se seraient volontiers passés du climat délétère créé par « la rumeur dont tout le monde parle » (sans rien savoir). Et le cinéma dans tout ça ? Qui, en 2024, pour succéder à Justine Triet et son « Anatomie d’une chute » ?

Focus

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  • Tribune collective

    "L’éducation ne se résume pas à l’absorption de principes abstraits ou de techniques"

    L’éducation est capital(e). Capital ? Comme une marchandise en vue de « l’employabilité » ? Comme une donnée comptable à faire fructifier ? L’éducation doit se penser à l’aune d’autres notions, peut-être même se penser contre elle-même quand il s’agit d’apprendre à douter de ce que l’on sait ou croit savoir : elle est capitale, expliquent les signataires de cette tribune collective dans « Marianne ».

  • L'œil de Marianneke

    À l’Université libre de Bruxelles, il n’est plus question de liberté... seulement d'antisémitisme

    Il est temps de l’admettre, à présent que l’Université libre de Bruxelles (ULB) est devenue le théâtre de l’apologie du terrorisme et de l’antisémitisme violent, estime notre chroniqueuse Nadia Geerts : l’institution historiquement partisane du libre examen a pris fait et cause pour la Palestine, et surtout pour le Hamas, et contre Israël, et pas seulement celui de Netanhayou. Et tant pis pour la liberté académique… et pour les juifs.

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