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  • Tribune

    "Le Parti socialiste doit redevenir un parti de combat : pourquoi nous soutenons Boris Vallaud pour le congrès du PS"

    Pour l’ensemble de la gauche, le débat interne au Parti socialiste en vue du congrès de Nancy revêt une importance stratégique capitale. Pour cette raison, « Marianne » a choisi de donner la parole à chacune des trois tendances qui s’affronteront pour présider aux destinées de la Vieille maison : celle du premier secrétaire sortant, Olivier Faure, qui tient pour l’union de la gauche hors LFI et l’organisation d’une primaire ; celle de Nicolas Mayer-Rossignol, représentant le courant social-démocrate, plutôt favorable à une candidature de Raphaël Glucksmann à l’élection présidentielle ; et celle du président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud, qui ambitionne de réconcilier la famille socialiste. Ce sont les partisans de cette dernière tendance qui ouvrent aujourd’hui le bal.

  • Vox Polony

    Natacha Polony : "L’enjeu de la sécurité mérite mieux que les caricatures, l’instrumentalisation ou le déni"

    En France comme aux États-Unis, les élites échouent à garantir la paix civile, pour laquelle les citoyens ont accepté de renoncer à une part de leur liberté. Et alors que l'insécurité – dans toutes ses formes – est de tous les discours, il devient urgent de penser le sujet dans toute sa complexité, loin des amalgames et des postures politiciennes, estime notre éditorialiste Natacha Polony.

  • Le grand flou

    Successeur du pape François : des cardinaux indécis face à un choix cornélien à l'ouverture du conclave

    Mercredi, le grand livre de François sera refermé. Les 133 cardinaux électeurs se réunissent en conclave pour choisir le successeur de l’Argentin. Leur tâche ne sera pas facile car ils devront trancher entre deux options : la continuité ou la rupture. Plusieurs noms circulent dans les milieux qui se disent bien informés même si du côté des électeurs, il semble plutôt que les cardinaux sont dans le grand flou et n’arrivent pas à se mettre d’accord. Au fil des heures, la tension monte et les paris sont ouverts dans toute l’Italie.

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  • Appel à témoignages

    PMA ou adoption : vous avez un projet parental, subissez-vous des discriminations au travail ?

    Les députés ont adopté à l'unanimité, ce lundi 5 mai, une proposition de loi visant à protéger les droits des salariés – hommes comme femmes – engagés dans une procréation médicalement assistée (PMA) ou une adoption. Mises au placard, refus d'évolution de carrière, demandes d'absences refusées... Au travail, les discriminations demeurent nombreuses pour les personnes engagées dans de tels projets parentaux. Et vous, subissez-vous (ou avez-vous subi) des pressions ou avez-vous préféré garder le silence auprès de votre employeur ? Votre avis nous intéresse, témoignez dans « Marianne » !

  • L'œil d'Audrey Jougla

    Recrutement à bac +3 des professeurs : est-ce bien sérieux ? "Pour passionner des élèves, il faut être passionnant"

    Le concours des professeurs du premier et second degré sera désormais accessible dès la licence. Si l'enjeu consiste à augmenter les recrues potentielles, on risque d’abaisser l'exigence professorale, déplore Audrey Jougla, professeure de philosophie à Nantes et chroniqueuse pour « Marianne ». S'attaquer aux vraies causes de la désaffection pour le métier mériterait une politique de long terme, pas une énième réforme.

  • Tchüss EnergieWende

    Friedrich Merz chancelier : le possible retour en grâce du nucléaire allemand, une bonne nouvelle pour la France ?

    Alors que le conservateur Friedrich Merz devrait prendre ses fonctions de chancelier rapidement, il vient de nommer les membres de son gouvernement et notamment sa ministre de l’Économie et de l’Énergie, Katherina Reiche. Choisir une ancienne députée CDU et surtout directrice de l’une des filiales d’un géant de l’énergie allemand pour ce poste stratégique est-il une bonne nouvelle pour la France ?

  • Entretien

    Présidentielle en Roumanie : "L'annulation du premier tour a été vécue pour beaucoup comme une dépossession"

    Alors que le candidat d'extrême droite George Simion (AUR) caracole en tête avec près de 41 % des voix, la Roumanie s’apprête à vivre un second tour sous une pression juridique et politique inédite. Dans un contexte électoral marqué par l'annulation du scrutin de décembre 2024 pour atteinte aux principes démocratiques, Mathieu Disant, Professeur à l’École de droit de la Sorbonne, analyse les implications juridiques de cette séquence troublée et les enseignements de ce premier tour.

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